Ski~Mojo : endurance pour tous les skieurs et bénéfices santé confirmés par une thèse de médecine
Le Ski~Mojo n’est pas un dispositif médical, mais il est souvent conseillé par des professionnels de santé à ceux qui souffrent des genoux, des hanches ou du dos. Pourtant, il ne s’adresse pas uniquement aux skieurs blessés. Conçu pour améliorer l’endurance et prolonger le plaisir de la glisse, il s’adresse à tous les passionnés de ski. Le fait qu’il soulage les articulations est un bonus bienvenu, mais ce n’est pas sa vocation première : c’est la cerise sur un gâteau déjà généreux.
L’étude rappelle que le ski soumet les genoux à des contraintes importantes : flexions répétées, vibrations, appuis latéraux et torsions lors des virages, surtout lorsque la fatigue s’installe. Ces facteurs augmentent les pressions sur les structures du genou comme le ligament croisé antérieur et les ménisques, et peuvent réveiller des douleurs ou accélérer l’usure articulaire. Les exosquelettes de membre inférieur apportent une réponse mécanique en soutenant la flexion-extension et en répartissant une partie de la charge. En pratique, ils réduisent l’effort perçu, aident à conserver une posture stable et limitent les pics de contrainte, ce qui rend les longues journées de ski plus confortables.
En octobre 2025, une thèse soutenue à l’Université Claude Bernard Lyon 1 par le Dr Maxence Bory a étudié l’usage des exosquelettes de ski parmi les professionnels de la montagne. La plupart des personnes interrogées étaient des moniteurs de ski, principalement issus de l’ESF – École du Ski Français, ainsi que quelques pisteurs secouristes. Le Ski~Mojo s’impose comme l’équipement le plus répandu, et les résultats mettent en évidence des effets concrets sur le confort, la santé articulaire et la capacité à poursuivre l’activité professionnelle. Cette étude indépendante vient confirmer ce que des milliers de skieurs amateurs rapportent déjà depuis des années : plus d’endurance, moins de douleurs et davantage de plaisir sur les pistes.
Adoption
Le Ski~Mojo est utilisé par 93 % des professionnels équipés d’un exosquelette. Ce taux d’adoption exceptionnel illustre la confiance des moniteurs de ski et des pisteurs secouristes dans ses performances.
Moins de médicaments
66 % des utilisateurs déclarent avoir réduit leur consommation d’antalgiques ou d’anti-inflammatoires. Une meilleure gestion de la douleur et moins de fatigue permettent de skier plus longtemps avec davantage de confort.
Activité préservée
63 % des moniteurs de ski et pisteurs équipés maintiennent leur rythme de travail habituel. Le Ski~Mojo favorise ainsi la continuité d’activité, même en fin de saison lorsque la fatigue articulaire se fait sentir.
Absentéisme
Plus de 70 % constatent une baisse des arrêts de travail liés aux douleurs. Un bénéfice direct pour les moniteurs de ski, les pisteurs secouristes et tous ceux dont le métier dépend de leur présence sur les skis.
Chirurgie retardée
75 % des utilisateurs opérés estiment que le Ski~Mojo les a aidés à repousser une nouvelle intervention. En réduisant la pression sur les articulations, il contribue à préserver mobilité et autonomie plus longtemps.
Sécurité
Aucun risque d’accident supplémentaire n’a été observé dans l’étude. Le Ski~Mojo accompagne le mouvement naturel du skieur sans perturber sa technique ni son équilibre.
Étude réalisée sur 431 répondants dont 57 utilisateurs d’exosquelettes. Les bénéfices concernent la réduction de la douleur, la baisse de la médication, la continuité d’activité et la prévention des troubles musculosquelettiques.
Le Ski~Mojo est un exosquelette mécanique entièrement dédié à la pratique du ski. Il soutient le mouvement naturel des jambes sans jamais limiter la liberté du skieur, offrant ainsi une expérience fluide et naturelle. Sa conception robuste, pensée pour durer, repose sur des matériaux résistants et des assemblages éprouvés en conditions réelles. Chaque composant est entièrement réparable ou remplaçable, garantissant une longue durée de vie et une utilisation durable saison après saison.
Fabriqué avec soin en France, le Ski~Mojo bénéficie d’un savoir-faire technique exigeant et d’un contrôle qualité constant. Grâce à plus de dix ans de recul et de retours d’expérience, il s’est imposé comme la référence mondiale des exosquelettes de ski, aussi bien auprès des moniteurs de ski et pisteurs professionnels que des amateurs passionnés.
Envie d’essayer ou de vous équiper ?
Remboursement : les exosquelettes de ski ne figurent pas à la LPP et ne sont pas pris en charge par l’Assurance Maladie.
FAQ — Ski~Mojo et bienfaits observés
Le Ski~Mojo est-il réservé aux skieurs blessés ?
Non. Il s’adresse à tous les skieurs. Il améliore l’endurance et allège l’effort tout en préservant les sensations de glisse.
Le dispositif aide-t-il vraiment à soulager les douleurs ?
Oui. La thèse indique qu’une majorité d’utilisateurs ressentent une diminution des douleurs articulaires et musculaires, notamment au niveau des genoux et du dos.
Est-ce qu’il faut être professionnel pour en bénéficier ?
Non. S’il est largement adopté par les moniteurs de ski et les pisteurs secouristes, il convient aussi aux amateurs qui souhaitent skier plus longtemps sans fatigue.
Le port du Ski~Mojo présente-t-il un risque pour la sécurité ?
L’étude n’a pas mis en évidence de risque d’accident accru chez les utilisateurs. Le ski demeure toutefois un sport à risque, et tout équipement, qu’il s’agisse de skis, de bâtons ou d’un exosquelette, peut, dans certaines circonstances, être à l’origine d’une blessure. Le Ski~Mojo n’échappe pas à cette règle. En toutes circonstances, le skieur doit rester maître de sa vitesse et de ses trajectoires, et adapter sa pratique à son niveau et aux conditions.
Où peut-on l’essayer ?
De nombreux magasins partenaires organisent des essais. Consultez la carte des points de test sur la page “Store Locator”.
Référence : Thèse de médecine — Maxence Bory (Université Claude Bernard Lyon 1, 2025), « Exosquelettes des membres inférieurs : état des lieux de leur utilisation chez les professionnels de la montagne, bénéfices sur les troubles musculosquelettiques, impact sur l’absentéisme au travail et sur la consommation de soins ».